• IL FAUT LE DIRE !


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    vorgeat
    Dimanche 7 Octobre 2012 à 13:12
    abus et injustices
    JEAN-PHILIPPE OU LES DIFFICULTES D'ÊTRE UN PERE EN FRANCE Je m'appelle Jean-Philippe. En 1986 j'ai vécu en concubinage avec Marie-Madeleine, de notre union est née Stéphanie en 1990. Dix ans plus tard en 2000, Marie-Madeleine et moi nous nous sommes séparés à sa demande. Le jugement qui a suivi cette rupture accordait classiquement à la mère une pension alimentaire et à moi, son père, un droit de visite et d'hébergement d\'autant plus aisé que nous habitions dans la même ville (Vienne en Isère). Déjà les horaires pour mon droit de visite n'étaient pas respectés par Marie-Madeleine et j'attendais souvent devant sa porte son retour pour prendre ma fille ou la ramener les week-ends. De même Marie-Madeleine a plusieurs fois abusé en décidant unilatéralement de ne pas me confier notre fille estimant que déjà > ? Alors que c'était tout simplement mon devoir et mon droit de père! C'était aussi tout simplement la loi... Mais Marie-Madeleine ne semble considérer que la loi c'est uniquement sa volonté personnelle et estime que le père n'a que le droit de se taire et de payer. Je garde de notre relation l'image d'une femme ayant des difficultés personnelles et usant à mon encontre d'une forme de violence. Elle me reprochait sans cesse mes relations, ma famille, mes choix religieux et au fond, tout ce que j'étais. Cela n'est pas sans me rappeler une forme de harcèlement moral qui vise à discréditer l'autre, à le rabaisser ceci pour mieux le soumettre à ses changements d'humeur et en somme à sa tyrannie. Ce harcèlement moral est toujours le fait des violences conjugales et précède souvent les coups dans le cas des maris violents. Signalons que Marie-Madeleine a vécu avec un nouveau compagnon, Raphaël. Je me suis moi-même marié de mon côté. Cette séparation aurait pu se dérouler au mieux pour permettre le bonheur de Stéphanie. Pour ma part je suis un adulte et j'ai au fond choisi à un moment donné de vivre avec cette femme. J'en assume donc les conséquences. Le problème c'est que notre fille, Stéphanie, une adolescente de 14 ans, a fait les frais des déséquilibres de sa mère et de sa nouvelle liaison avec Raphaël. En effet elle a été victime de violences physiques de la part du compagnon de sa mère. A partir de juin 2004,j'ai commencé à déposer des mains courantes à la police pour des violences à l'encontre de Stéphanie qui un soir est même arrivée en pleurs chez moi. Ma fille a été examinée par mon médecin de famille et a déposé plainte...puis elle a retiré sa plainte probablement par peur. Quant à mes plaintes à la police ou au tribunal, elles sont restées sans suite. A mes demandes d\'explication téléphonique Marie-Madeleine m'a répondu que ce qui est la meilleure car je suis le père de Stéphanie! A partir de là, les relations ont été de plus en plus tendues avec des interventions assez partiales de la police. Je pense à une inspectrice de police, madame glasson, qui nous a reçu Marie-Madeleine et moi et qui s'est permis des commentaires assez déplacés contre la garde alterné (la loi la permet!) et sur la manière dont le jugement avait fixé le paiement de la pension ! Le 31 mai 2005, j'avais en effet demandé la garde alterné en vue de retirer un peu plus souvent Stéphanie de ce milieu si défavorable. De son côté, Marie-Madeleine, suivant sa stratégie de brouillage puis d'anéantissement de mes droits de père a déposé plainte contre moi pour ! En mars 2006, brutalement, la justice, sourde à mes demandes se réveille. Je suis convoqué par le procureur monsieur Labeaume. A ma grande surprise celui-ci me qualifie de et me menace de me faire (sic) ou de! Tout cela devant mon avocate qui n'a même pas réagi ! Je suis sorti de cet entretien totalement abasourdi! On retrouve là une vraie stratégie de harcèlement moral qui, d'abord pratiquée par Marie-Madeleine s'est étendue à la police et au tribunal de vienne ! Pourquoi harcèlement moral ? 1. D'abord les violences verbales y compris de la part d'agents de l'Etat dont la mission serait plutôt d'être, il me semble, impartiaux dans un conflit familial. 2. En outre je pense à ma fille qui a senti ma totale impuissance à l'aider et qui à même subi le contrecoup négatif de mes tentatives. Je crois qu'elle a pu m'en vouloir et s'est renfermée sur elle même. Aujourd'hui elle a 20 ans et nos rapports sont très difficiles du fait qu'elle est mal à l'aise dans sa peau. 3. Ensuite la passivité des institutions pour améliorer la situation de ma fille suite à mes plaintes répétées. On ignore superbement tout ce qui vient contrer mon ex-compagne Marie-Madeleine ! Justice et police me semble partisanes ! 4. Cette même Marie-Madeleine ne répond jamais à mes courriers au sujet de notre fille et répète que l\'éducation de ma fille alors que, par ailleurs, elle tient beaucoup à ce que cela soit elle qui reçoive la pension à la place de notre fille devenue majeure. 5. En mai 2010, ma fille devrait, selon la loi, recevoir elle même la pension pour la poursuite de ses études. J'en fait la demande auprès du tribunal de vienne. Le jugement n'arrive que fin décembre 2010. Sept mois plus tard ! Il a fallu sept mois, bien des frais (avocats,...) et beaucoup de soucis pour obtenir que...ma demande de versement directe ne soit même pas discutée par le tribunal. Que faire ? Appel ? Encore des frais !! Encore des alarmes et des soucis ! Je suis écœuré
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    jean-philippe
    Dimanche 28 Avril 2013 à 22:06
    la justice corrompue est une atteinte à la liberté individuelle!
    Article 7 — Nul homme ne peut être accusé, arrêté ou détenu que dans les cas déterminés par la loi et selon les formes qu'elle a prescrites. Ceux qui sollicitent, expédient, exécutent ou font exécuter des ordres arbitraires doivent être punis ; mais tout citoyen appelé ou saisi en vertu de la loi doit obéir à l'instant ; il se rend coupable par la résistance. Nous devons remarquer le processus infiniment subtil de la DDHC. Chaque article valide et renforce les droits énoncés par les précédents, puis il procède à leur extension dans une cohérence redoutable. Nos illustres parlementaires étaient en état d’inspiration lumineuse, lors de l’élaboration de cette Déclaration. Cette inspiration lumineuse ne voulant pas dire qu’ils étaient des naïfs inconséquents, des rêveurs irresponsables ou des romantiques déconnectés des dures réalités. Ils connaissaient manifestement la capacité de corruption de tout pouvoir, et la corruption absolue d’un pouvoir de même nature. Aussi, en fin stratège, il ne se sont pas contentés de proclamer des droits stricto sensu, mais ils ont fait en sorte, par la succession habile et l’énoncé de chaque article, de ne plus rendre possible les débordements inéluctables que nous devons toujours attendre de tous les pouvoirs politiques. L’histoire antérieure à cette Déclaration ne leur laissait aucun doute sur l’inévitable tentation totalitaire de ces pouvoirs, comme faisant partie de leur propre nature. L’histoire postérieure à cette Déclaration n’a fait que confirmer la parfaite justesse de leur clairvoyance et de leur connaissance du côté obscure de la nature humaine. Chaque article de la DDHC vient donc poser les bornes que ne doit jamais franchir un gouvernement légitime et les lois qui lui servent d’alibi à ses actions. Dans l’esprit de nos pères illustres, gouverner c’est servir et libérer, dans celui de nos gouvernements corrompus, gouverner c’est se servir et asservir. Nous pouvons d’ailleurs aisément constater, par le délire de la multiplication des lois scélérates, que nos gouvernements actuels ne sont pas en reste lorsqu’il s’agit d’exprimer la pleine mesure de leur corruption. Par l’énoncé de chacun de ses articles, la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789, impose des droits et devoirs aux citoyens (la liberté n’est possible que parce qu’il y a des règles qui en définissent la pratique), mais elle impose autant de droits et devoirs aux associations politiques qui produiront les gouvernements ayant en charge la noble servitude qui leur incombe. Elle verrouille l’inaliénabilité et l’imprescriptibilité de ses droits et de ses devoirs. La redondance de certaines précisions n’ayant pour but que d’en renforcer la pérennité. Ainsi, la liberté pour un membre du corps social est un droit naturel, sacré, inaliénable, imprescriptible, mais ce n’est pas le droit de faire tout et n’importe quoi. Pas plus que pour un gouvernement, la liberté ne signifie pas qu’il puisse, ne serait-ce que de temps à autre, porter atteinte par des lois illégitimes à un seul des droits que contient la DDHC. Bien évidemment, comme je l’ai déjà amplement démontré, nos gouvernements ont tous rapidement succombé à leurs péchés originels, celui du totalitarisme, de l’arbitraire et du despotisme. Pour y parvenir tout en donnant l’illusion d’être des ardents défenseurs de la DDHC, ils ont mis au point une stratégie reposant sur la duplicité de langage, la déloyauté, l’hypocrisie, la trahison et un cynisme le plus méprisant qui soit, celui d’une pseudo noblesse de caste regardant avec une condescendance hautaine les gueux de la roture. Cette stratégie ayant porté ses fruits amers, tous nos gouvernements corrompus se transmettent précieusement cet héritage, en essayant chaque fois d’en renforcer les effets. Avec cet article 7, adossé aux commentaires que j’ai développé lors des précédents, je vais démontrer de façon indiscutable, et l’existence de cette stratégie liberticide préméditée, et les moyens mis en oeuvre pour parvenir à gouverner sans avoir à se préoccuper le moins du monde des impérieuses obligations qu’impose le contenu de la DDHC. Car si nos pères fondateurs de la nouvelle citoyenneté étaient inspirés et intelligents, il ne faudrait pas croire que cette intelligence est en soi une vertu. Pour preuve, il y a autant d’intelligence possible dans l’évolution que dans l’involution. Ce qui rend l’intelligence sage, c’est lorsqu’elle s’exerce dans la pratique des vertus, rien d’autre ! Revenons au début de cet article 7. Il nous dit : nul homme ne peut être accusé, arrêté ou détenu que dans les cas déterminés par la loi et selon les formes qu'elle a prescrites. Cela n’aurait pas une grande signification si cette proclamation était isolée et sans lien avec les articles précédents. À la limite elle voudrait aussi dire que les gouvernements peuvent tout se permettre sous réserve qu’ils aient préalablement défini une loi permettant leurs actions. Comme il est facile pour un gouvernement de faire une loi, surtout lorsqu’il a pris soin de solidement vassaliser ceux qui sont chargés de la voter, il n’y aurait donc aucune limite à l’exercice du pouvoir. La liberté d’un gouvernement, capable de gérer cette petite formalité dérisoire, deviendrait la loi du plus fort. Seulement, voilà, cet article, pas plus que les suivants, ne peut se lire sans tenir compte du contenu du préambule et des articles qui le précèdent. Nous avons vu, lors de l’étude de l’article 5, que la loi n’avait pas tous les droits, et que ses droits étaient limités par les dispositions de cette Déclaration. Il découle de ce qui précède que si des lois disposent de procédures d’accusation, d’arrestation et de détention, elles doivent en respecter les droits naturels, sacrés, inaliénables et imprescriptibles de l’homme, dont les articles suivants en définissent admirablement le contour. Rappelons que les lois qui déterminent l’accusation, l’arrestation et la détention d’un individu ne doivent pas permettre la pratique de triste mémoire des lettres de cachet. Hélas, il est facile de constater qu’aujourd’hui, à cause de nombreuse lois scélérates de nos gouvernements corrompus, un simple petit juge d’instruction, en complicité totale avec sa hiérarchie au sommet de laquelle se trouve le très politique ministère de la justice, n'importe quelle personne peut se retrouver durablement derrière les barreaux sans autre forme de procès que celui de la décision d’un magistrat utilisant cette loi du plus fort qu'est la détention provisoire sans limite, qu’il utilise en remplacement des moyens de tortures qui sévissaient au moyen-âge. Cette détention provisoire dont la limite est laissée à l’appréciation arbitraire et sans véritable contrôle (pour cause de solidarité de caste), à des individus exerçant une activité professionnelle (justice) sans responsabilité civile et pénale, est l’un des plus puissants outils de la stratégie de nos gouvernements corrompus. Cette détention provisoire qui était énoncée à son début comme devant être l’exception, par ignorance, paresse, incompétence, corruption politique et irresponsabilité, est devenue la règle. Je ne dis pas qu’elle ne se justifie pas dans certains cas, je dis simplement qu’il est hélas démontré que trop de personnes que la justice à reconnue innocentes, ont du subir une atteinte à leur dignité, l’opprobre de leur semblable, et parfois la ruine de leur situation familiale, sociale et professionnelle, simplement à cause d’un petit juge caractériel, incompétent et irresponsable (au sens légal du terme), auquel des lois scélérates ont permis l’exercice de pratiques liberticides. J’aurai l’occasion, à la suite des prochains articles, de revenir sur cette lamentable réactualisation, sous une forme cyniquement moderne, des lettres de cachet, je ne m’étends donc pas d’avantage. Ceux qui sollicitent, expédient, exécutent ou font exécuter des ordres arbitraires doivent être punis... Par ce passage je vais pouvoir démontrer ce que j’annonçais précédemment à savoir : la stratégie préméditée mise en place par les gouvernements corrompus pour s’affranchir des devoirs que leur impose la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789. Comme vous le constaterez cette stratégie perverse est d’une redoutable efficacité, elle repose sur le maintien du peuple dans l’ignorance de ses droits, car sans cette ignorant le délit de corruption serait flagrant et accablant. Faire des lois liberticides n’est pas quelque chose de très compliqué. Il faut simplement faire en sorte que les associations politiques n’aient plus pour but principal la conservation des droits naturels, sacrés inaliénables et imprescriptibles de l’homme, la chose est depuis longtemps entendue. Une fois cette opération réalisée, cela offre l’avantage de n’offrir à l’expression de la volonté générale, que le choix entre des partis politiques qui malgré des faux-semblants de différences apparentes, ont en réalité la même coloration philosophique, celle du pouvoir absolu. La chose est rendue d’autant plus facile à réaliser que les gouvernements veillent à maintenir l’ensemble du corps social dans la plus parfaite ignorance de ses droits, de ses libertés et de ses pouvoirs souverains, principal rôle dévolu à la pernicieuse Education nationale. Les représentants de l’expression générale étant élus sur des promesses qui ne sont jamais des engagements inviolables, sont à leur tour maintenus dans l’ignorance - être parlementaire ne veut pas dire, être intelligent, ni être instruit, ni être compétent, la réalité le démontre chaque jour -, et soigneusement encadrés par une technostructure qui leur impose ses règles et sa très forte domination. Avec un tel aréopage d’ignorants ou d’ambitieux, - les deux ne sont pas incompatibles -, est constituée cette personne morale que nous appelons le législateur. Comme l’histoire le démontre, en dehors de cette noble Constituante de 1789, la règle imposée veut que ce corps de parlementaires, se dirige comme un troupeau de moutons, incapables, pour cause d’ignorance caractérisée, de remplir loyalement la mission et le mandat que l’expression générale leur a confiés et qui est et reste la conservation des droits naturels, sacrés, inaliénables et imprescriptibles de l’homme. Avec ce dispositif, maintenu en l’état d’un gouvernement corrompu à un autre, il est donc facile de faire voter n’importe quelle loi. Ainsi, la plus totalitaire de nos administrations, je veux parler de l’administration fiscale, est-elle capable de faire voter dans les 10 jours, un amendement qui sera collé dans ce que la technostructure appelle si poétiquement de lois fourre-tout, dans le seul but d’invalider une décision de justice qui aurait pour effet de revenir sur le moindre dispositif qui lui assure sa toute-puissance despotique au travers de lois scélérates. Pendant ce temps, un parlementaire qui entend se préoccuper d’un problème à caractère humain qui frappe une partie de nos concitoyens, mettra des années pour tenter d’obtenir ou la modification d’une loi scélérate, ou l’étude d’une loi censée porter remède à ces difficultés. Loi qui, si elle est un jour votée, ne sera jamais appliquée pour faute de décrets d’application, que seul le gouvernement corrompu peut publier, ainsi la boucle de sécurité est bouclé, le totalitarisme peut s’épanouir sous des faux airs de "démocratie". Faire des lois scélérates est une chose, mais trouver les agents qui puissent en assurer l’application au quotidien en est une autre. Cette difficulté majeure résulte justement des dispositions de cet article 7, qui indique que : Ceux qui sollicitent, expédient, exécutent ou font exécuter des ordres arbitraires doivent être punis... Une loi scélérate est nécessairement un acte arbitraire (sauf pour les magistrats corrompus, ignorants et aveugles) ; un membre du corps social, correctement instruit de ses droits et devoirs, - et le devoir que contient ce passage n’est pas mince, puisqu’il consiste à ne pas donner suite à l’exécution d’une loi liberticide -, ne peut donc, sans se mettre dans l’illégalité, l’immoralité et l’indignité, être un agent servile au service d’une technostructure (administration) violant d’une façon flagrante et caractérisée des droits fondamentaux et les principes du pacte républicain. Afin d’obvier à cette difficulté, nous avons vu que nos gouvernements corrompus avaient institué, par des lois scélérates, le principe de l’irresponsabilité juridique pour l’ensemble de ses agents. En contrepartie de certains privilèges comme celui de cet affranchissement au respect du droit commun ; comme celui d’une garantie d’un emploi à vie ; comme celui de pouvoir faire supporter par la société civile les avantages d’une retraite généreuse prise bien avant les autres, tout en ne cotisant qu’à un taux inférieur à celui des autres membres du corps social, ces gouvernements corrompus peuvent donc exiger l’obéissance de leurs obligés. Les serviles agents de la technostructure corrompue, solidement encadrés par elle, - dossier d’avancement et de promotion servant de laisse passée au cou de chacun d’eux -, doivent solliciter, expédier, exécuter et faire exécuter des ordres arbitraires venant de ces innombrables lois scélérates. Chacun se donnant la bonne conscience d’obéir aux ordres des supérieurs sur lesquels ils se dégagent de toute responsabilité. Lors du procès de Nuremberg, les juges qui tentaient de comprendre comment le puissant mécanisme de la “solution finale” avait-il pu se mettre en place tant il demandait d’intervenant à tous les niveaux de multiples administrations, la réponse des fonctionnaires qui se trouvaient de près ou de loin, impliqués dans la sollicitation, l’expédition ou l’exécution d’ordres arbitraires et inhumains, a été qu’ils n’avaient fait qu’obéir aux ordres des supérieurs, se considérant comme n’ayant aucune responsabilité dans cette affaire... Les dispositions de ce passage de l’article 7, prévoient en outre que ces ordres arbitraires doivent être punis. Ceci n’est pas exprimé sous forme de souhait, mais sur le mode impératif, c’est-à-dire un impérieux DEVOIR. Là encore, nous pouvons constater que ce droit naturel, sacré, inaliénable et imprescriptible de l’homme, dans la possibilité de se faire rendre justice, a été sournoisement détourné d’une part, par le privilège qui accorde aux agents de la technostructure de ne pas être individuellement civilement et pénalement responsables, et d’autre part, par le fait qu’il n’y a aucune disposition dans le Code Pénal qui permette de sanctionner les crimes et délits découlant de la violation de ce droit. Les magistrats qui se trouvent être ces agents serviles de cette technostructure corrompue, n’ont plus, depuis fort longtemps, pour unique préoccupation la défense et la conservation des droits naturels, sacrés, inaliénables et imprescriptibles de l’homme. Ils ne sont préoccupés que par la défense de leurs privilèges et ceux de la technostructure. Ils rendent donc des décisions qui sont à la justice ce que la fausse monnaie est à la bonne. Cette absence de justice, par la non condamnation de la sollicitation, l’expédition et l’exécution des ordres arbitraires, est une atteinte directe au droit de liberté, car il n’y a plus de liberté lorsqu’il n’y a plus de véritable justice. Et comme rien n’est prévu pour que puissent être condamnés les magistrats (outre autres membres des administrations) qui se rendraient complices de ce type d’infraction, alors pourquoi s’en priveraient-ils, d’autant que cela pourrait nuire à leur avancement... Voilà comment nos gouvernements corrompus maintiennent et renforcent ce puissant dispositif qui les affranchit des devoirs de leur charge. Voilà comment le despotisme peut avoir un développement si vivace et si puissant dans la patrie des droits de l’homme. Voilà pourquoi le respect de ces Droits n’est plus possible dans l’état actuel de pourrissement moral, juridique, administratif et politique. ... mais tout citoyen appelé ou saisi en vertu de la loi doit obéir à l'instant ; il se rend coupable par la résistance... Bien sûr que tout citoyen doit obéir à la loi, c’est même le fondement de sa liberté. À la condition que cette loi soit juste et ne soit pas en totale opposition avec la Loi des lois qu’est la DDHC. Un citoyen a le devoir d’obéir à la loi, mais il a aussi le droit de s’opposer aux lois scélérates de par les dispositions de l’article 2, qui stipule son droit imprescriptible de résistance à l’oppression. Au fur et à mesure que l’on entre dans les structures qui charpentent cette sublime Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen de 1789, on ne peut qu’être en admiration devant l’édifice grandiose qu’il révèle à l’entendement. Ce n’est plus une simple énumération de droits quelconques, c’est un puissant mécanisme philosophique et spirituel, comme un code génétique de la citoyenneté, dont les gouvernements corrompus sont les rejetons abâtardis par leurs tares héréditaires issues des gènes de l’ancien régime. Ce doit être un peu la même situation qui a dû prévaloir lors de la cohabitation éphémère entre l’homme de Néandertal et l’homme de Cro-Magnon... Il a fallu probablement plusieurs siècles avant que le premier disparaisse laissant la place au deuxième plus évolué. jean-philippe
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    jean-philippe
    Dimanche 28 Avril 2013 à 22:11
    magistrats...pourris où paumés?
    JUGES-PUTES ou JUGES-LARBINS ? A l'origine de la décadence du système judiciaire, la corruption organisée et généralisée de la profession, une servilité fangeuse qui se nourrit de toutes les compromissions, l'omniprésente veulerie propre à tous les paumés, le tout verrouillé par un corporatisme mafieux qui génère des jurisprudences mortifères. Force est de constater que la profession de magistrats attire les inadaptés, les caractériels, les psychopathes, les détraqués sexuels, qui tous recherchent le plaisir sadique de manipuler, de dominer, d’enfreindre impunément la loi. Le pouvoir judiciaire leur offre le cadre idéal pour assouvir leurs vices en toute sécurité. A-t-on jamais vu un juge dénoncer un collègue pédophile ? A-t-on jamais vu un juge partir en guerre contre les pratiques mafieuses de ses confrères francs-maçons ? A-t-on jamais vu un juge reconnaître que des citoyens sont victimes de décisions intolérables, contraires à la loi ? Non ! Leur devise est « tous solidaires » avec comme leitmotiv qu’une décision de justice ne se conteste que par les voies de recours, tout en sachant que les voies de recours sont totalement inopérantes puisque le même système de corruption y sévit et que le corporatisme interdit toute mise en cause d’un confrère. L’affaire dite d’Outreau, c’est 84 magistrats incompétents qui ont statué sur les voies de recours ! On constate aussi que « juger » est devenu une « entreprise familiale » : on se marie entre juges et on procrée des futurs petits juges ! Ainsi au corporatisme protecteur et à la confrérie servile franc-maçonnique viennent s’additionner des liens familiaux conservateurs au sein d’un système judiciaire dit « indépendant » ! « Justice de merde » pour certains, « Justice corrompue » pour d’autres, « Justice franc-maçonnique » pour les initiés, « Justice prostituée » pour les habitués ! Juges-putes, Juges-larbins, Juges-fossoyeurs, Juges-pronazis,... Au-delà de ces attributs peu flatteurs, force est de constater que les multiples trahisons des juges sont autant d’atteintes subversives aux règles fondamentales qui régissent la vie en société. Leurs "décisions" intolérables, destructrices de vie, de liens familiaux et d’emplois, grèvent lourdement l’avenir de ceux qu’elles détruisent et celui de la société toute entière. Elles sont une véritable plaie pour l’économie et l'avenir de notre pays ! jean-philippe
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    jean-philippe
    Lundi 29 Avril 2013 à 21:38
    mélody et coralie,otages de la justice?
    Bonjour à tous, Tandis que "nos chers médias" ne cessent de nous parler de journalistes pris en otages dans des pays où il fallait pas aller, les mêmes médias ne parlent pas de milliers d'ENFANTS OTAGES DE LA JUSTICE POUR DE SOMBRES RÉSEAUX DANS LE MONDE ! Mes deux filles en font parti mais elles ont la chance d'être deux et d'avoir bientôt 13 et 16 ans ! D'autres n'ont que 3 ans ou moins et se retrouvent sans défense dans des situations parfois sordides ! (Lire le livre de Sandrine PORCHER en page d'accueil de ce site si le coeur vous en dit) VOUS AVEZ LE DROIT DE COMPRENDRE : POURQUOI, COMMENT ET EN COMBIEN DE TEMPS ON M'A ENLEVÉ MES DEUX FILLES ! Bonne lecture et surtout BONNE SANTÉ À VOUS ! Corinne GOUGET, mère privée de ses deux filles pour avoir oser dévoiler certaines vérités ! Vous avez été nombreux à me demander comment on avait pu m’enlever mes deux filles le 21 avril 2006 et depuis, vous avez été un certain nombre à m’aider et me soutenir comme vous le pouviez ! Je vous remercie du fond du coeur mais le combat pour retrouver mes deux filles chéries n’est pas encore terminé ou du moins pas pour le moment ! Alors voici un dossier afin de vous faire comprendre les faits de cette douloureuse affaire, désolée mais les mouchoirs (si besoin) ne sont pas fournis avec les textes ni les photos. TOUT EST VRAI CAR JE DÉTESTE LE MENSONGE ! Fin Mars 2006 : Cela faisait deux ans que mes filles et moi-même savourions une vie d’amour, de respect, de joie, de liberté et de belles rencontres tout en mangeant BIO. Le plus important pour nous était de ne plus vivre dans la peur, la violence, les attouchements sur mes filles, la paranoïa, les coups et les cris de mon ex-mari qui nous avait fait vivre l’enfer typique d’un pervers narcissique et brillant manipulateur (que seuls ceux qui l’ont vécu peuvent imaginer). Mais pour en savoir plus, il faudra attendre la sortie d’un prochain livre. En attendant, je souhaite vous faire lire un extrait de notre histoire : Le 8/10/05 était un samedi, Mélody savait que c’était le jour des 40 ans de son père et en fin d’après-midi elle est allée dessiner une carte pour son père, j’étais en train de cuisiner un long moment après, elle est venue dans la cuisine avec un immense sourire, comme soulagée en me tendant la carte dessinée ci-dessous. Elle m’a dit : “Maman regarde ce que j’ai dessiné pour Papa, ne lui envoie pas mais montre mon dessin à l’avocate !” J’ai été très choquée par ce dessin mais ce n’était pas le premier ! Voici les deux dessins, nous avions envoyé le premier comme une carte postale à son destinataire ! Mélody a toujours été douée en dessin depuis son plus jeune âge ! Dessin du 04/07/2004 (Format PDF) Le 21 avril 2006 donc, alors que deux mois plus tôt mon guide “ADDITIFS ALIMENTAIRES” était sorti et avait déjà dépassé les 11,000 exemplaires vendus à ma grande surprise, mes deux filles et moi-même étions convoquées devant une juge des enfants suite à 18 mois d’enquête des “SS” (services sociaux ou aussi surnommés “sévices sociaux”), dont je n’avais pas réussi à lire les derniers rapports à cause de l’avocate de mes filles qui n’était jamais là comme par hasard ! Etant donné qu’à trois reprises cette juge dans ce “Nouveau Palais de Justice” avait pris un certain plaisir à traumatiser mes filles lors d’audience sans greffiers, j’avais convenu avec l’avocate de mes filles qu’elles resteraient à l’école puisque nous devions discuter des rapports des “SS” et que selon ses dires, leur père était censé être sous contrôle judiciaire à l’étranger puisqu’il était poursuivi pour atteintes sexuelles, violences et menaces sur nos propres filles. Tout est organisé pour la journée, au petit déjeuner, Mélody pleure et me demande de ne pas aller voir la juge car “elle est trop méchante”, je tente de la rassurer en lui expliquant que je devais y aller, que je reviendrai les chercher à l’école en fin d’après-midi et le midi une amie viendrait les chercher pour manger à la maison et les ramènerait à l’école. A midi donc, alors que j’étais à un autre RDV, mes filles ont mangé (BIO) à la maison (pour la dernière fois sans le savoir !) et mon amie les a ramenées à l’école privée même si Mélody et Coralie ce jour-là n’avaient nullement envie d’y retourner, l'attestation écrite de mon amie a été totalement ignorée par les juges depuis ! (Ah si j’avais su !) A 14h15, le jour où notre bonheur s’est envolé, je me rends au tribunal dans la salle d’attente du tribunal pour enfants, une femme brune attend sur un banc, je ne la reconnais pas sur le coup mais elle me lance un strident “BONJOUR Mme GOUGET!”. Surprise je la regarde et je lui demande si on se connaît, tout aussi nerveusement elle me répond : “ Bien sur ! Je suis l’éducatrice spécialisée qui suis venue chez vous, vous vous souvenez pas ? ” C’est vrai je ne l’avais pas revue depuis 6 mois et pas du tout dans le même contexte. Alors afin de la remettre à sa place, je lui ai répondu sur un ton tout aussi sec : - ”Ah oui ! Je suis désolée mais vous savez, je rencontre beaucoup de monde en ce moment et je ne me souviens que des personnes importantes !” Pas de réponse car dans mon dos arrive sa compère blonde avec une stagiaire ! Elle me demande si cela me pose un problème si la stagiaire participe à l’audience, j’accepte ! Mais elle porte un étrange grand sac de sport bleu tout neuf et qui semble lourd. Elle demande aux employées de l’accueil de lui garder ce sac car “Après l’audience je pars en vacances” ! Je trouve ça étrange car si elle part vraiment en vacances, elle peut laisser son sac dans sa voiture ! Quelques minutes plus tard la même assistante sociale me demande où sont mes deux filles ; afin de me narguer elle mâche un chewing-gum bien vert en faisant beaucoup de bruit, je ne dis rien car ce sont bien ses neurones qui exploseront pendant des heures pas les miens.... Mon avocate arrive en retard toute essouflée ! Elle me demande : “Les filles ne sont pas là ?” Je lui réponds surprise, que c’est elle qui m’a autorisée à les laisser à l’école ! Je lui dis que Mélody pleurait au petit déjeuner et qu’elle me demandait de ne pas aller voir la juge “car elle est méchante”. A ma grande surprise, l’avocate me conseille de dire ça à la juge ! Choquée, je regarde l’avocate de mes filles en disant : - ”C’est impossible il est sous contrôle judiciaire à Londres” Mais pour toute réponse l’avocate baisse les yeux et la tête ; elle m’avait donc menti ! Là je me sens glisser dans un énorme piège ! La juge m’explique que je dois me faire soigner selon deux expertises psychiatriques dont je ne connaissais que les conclusions, que mes filles partiraient avec leur père une semaine en France, puis elles iraient vivre en Angleterre où il avait trouvé les écoles, une maison où elles auraient une chambre chacune et son amie avait pris une année de congé pour s’occuper de mes filles pendant que je me ferais soigner ! Je lui explique clairement qu’elle n’a pas le droit de faire ça, qu’au premier étage du tribunal une juge des affaires pénales a tout un dossier encore ouvert contre mon ex-mari pour “ATTEINTES SEXUELLES, VIOLENCES et MENACES envers Mélody et Coralie et qu’il contenait deux contre-expertises avec des photos et des vidéos. Je lui explique aussi que mes filles avaient refusé de revoir leur père depuis deux ans, qu’elles allaient être traumatisées à vie ! Mais la juge reste de marbre et me répond un glacial : ”JE FAIS CE QUE JE VEUX !” Ensuite, l’avocate demande sur un ton timide : “Mais Mme la juge, les petites ont une bonne vie sociale, nous pourrions attendre la fin de l’année scolaire et les placer dans une famille d’accueil en attendant”. Quoi ! Je n’y comprenais plus rien ! Même l’avocate me prenait pour une folle ! Ce matin, j’étais en train de prendre mon petit déjeuner, chez nous avec mes deux filles et là on me parle de famille d’accueil ou de placement de force chez leur père ! Mais c’est quoi cette justice à l’envers ? Je me demande alors si je ne suis pas en train de faire un cauchemar ! Ce n’est pas possible ! Tels trois chiens de garde prêts à bondir, les trois “SS” attendent l’ordre de quitter la salle pour aller chercher mes filles ! Ce qui ne tarde pas ! Ensuite la juge me demande de quitter son bureau et de revenir à 17h avec l’avocate !! Je suis choquée ! Dehors je demande à l’avocate de revenir à l’heure avec la cassette vidéo et toutes les attestations de mes amis et des scientifiques qui me soutiennent ! Elle a l’air affolé et me demande où est-ce que je vais ! Je lui réponds que je vais appeler des amis car on ne peut pas laisser faire ça, l’avocate ne cesse de dire que nous ne pourrons rien faire car la juge a déjà pris sa décision, je “rêve” ! Je file à 500m, dans un restaurant BIO tenu par une amie qui a bien du mal à comprendre ce qu’il m’arrive ! Elle me prête son téléphone, j’appelle deux ou trois amis, en pleurant et en parlant fort sous la douleur qui s’installe ! Une amie me dit qu’elle va me rejoindre ! Un autre me conseille d’appeler son avocat qui est “brillant” mais à l’autre bout de la France pour lui demander conseil ! Ce que je fis pour m’entendre dire : - “Mme GOUGET, je suis trop loin pour pouvoir vous aider, mais je vous donne un seul conseil : GARDEZ VOTRE CALME, car la juge n’attend qu’une seule chose, c’est que vous craquiez pour pouvoir vous enfermer dans la souricière au tribunal et vous faire interner lundi “ ! QUOI ! On allait m’arracher ma raison de vivre : MES DEUX FILLES et je devais garder mon calme ! Mais comment réussir ? En larmes, je retourne au tribunal de “justice” en faisant tout ce que je peux pour retrouver mon calme, nous sommes vendredi ; la veille des vacances scolaires, nous avons organisé un voyage à Paris toutes les trois en passant par les Alpes, mais je sens que tout s’effondre, comment l’expliquer à mes filles ? Une fois dans cette foutue salle d’attente (les entrailles de l’enfer) Mélody et Coralie étaient là avec les trois “SS”. Je n’oublierai jamais la beauté de leur visage ! Mélody tenait un beau dessin de la maison de ses rêves à la main et elle me dit : ”Maman regarde le beau dessin que j’ai fait à l’école”... Je demande à mes deux filles de s’asseoir à mes côtés et de croiser les bras... Je me retrouve donc assise entre les deux et devant nous la “SS” blonde mâche encore son chewing-gum en tournant en rond très nerveusement ! Elle sait donc qu’elle est en train de participer à un enlèvement d’enfants et de les mettre en DANGER ! Soudain Mélody me dit d’un air naïf : ”Maman, j’espère que nous serons à l’heure pour regarder “UN DOS TRES” mon programme préféré !” BOUM ! Je comprends alors que les “SS” n’ont rien dit à mes filles ! Pas le temps de lui répondre car tel le serpent du livre de la jungle, la “SS” brune assise à ma gauche juste après Coralie dit d’une voix glaciale et perverse : - ”Bien sûr que nous serons à l’heure, il n'est que 16h35 !” Je n’oublierai jamais cette phrase qui résonne encore dans ma tête par moments ! Que faire ? Où est passée l’avocate de mes filles ? Pourquoi n’est-elle pas là ? Je sens une pression peser dans la salle d’attente, comme un horrible orage qui approche, je décide de dire la vérité à mes filles en anglais ! Je sens qu’il faut faire vite ! Alors je mets mes bras autour des épaules de mes deux filles qui m’entourent et je leur dis en anglais : - ”Mes chéries, Maman vous aime très fort mais la juge pense toujours que Maman est folle, Papa est là, elle lui a parlé tout le matin et elle va vous forcer à partir avec lui ce soir, je suis désolée” ... Je n’ai pas le temps de continuer qu’en même temps mes deux filles se mettent à HURLER tout en s’accrochant à mon corps! Une des “SS” leur dit : ”Faut pas pleurer, ça va aller, vous allez parler à la juge” LE CHOC ! Mais nous n’avons pas le temps de souffler, la juge hystérique et les yeux remplis de rage, débarque dans la salle d’attente devant mes deux filles et ordonne : ”On y va !” Je lui explique qu’elle doit attendre l’arrivée de leur avocate mais elle me dit que l’avocate n’est pas celle de mes filles (mensonge !), que je dois en prendre une autre et que de toute façon elle est en retard ! Elle embarque mes deux filles qui pleurent et une des “SS” qui n’a pas envie de rester avec moi, demande à la juge d’un ton soumis et pervers : ”On peut venir on fera pas de bruit ?“ La juge embarque donc les trois “SS” avec mes filles dans le couloir de l’enfer qui mène à son bureau ! Ce bureau donne sur une cour interne, je tente de regarder dans la cour au travers des fenêtres mais un palmier m’empêche d’observer ce qu’il se passe dans le bureau ! Derrière moi, il reste les cartables et les blousons de mes filles gisant là sur la banquette comme abandonnés ! Et puis tout va très très vite, même si je veux arrêter le temps pour trouver une solution ! Mon amie arrive, elle a du mal à croire ce qui est en train de m’arriver ! Elle a un téléphone portable, elle me le prête. Je suis tournée vers la fenêtre pour essayer d’apercevoir mes filles et je téléphone à d’autres amis... Ils sont tous choqués ! Puis on entend des pas qui ressemblent à ceux d’un dinosaure ! Dans mon dos ma copine me dit : - ”Oh là là ! Je pense que ton ex-mari arrive, qu’est-ce qu’il est grand !“ Je lui dis qu’elle ne l’a jamais vu et elle me rappelle que je lui en avait parlé ! Elle me demande impressionnée : ” Tu veux voir ?“ Ma réponse fut : ”NON !” Mais vu le poids de l’individu (130 kilos pour 1,92m), on entendait bien le bruit des ses pas, alors j’ai tourné la tête et du coin de l’oeil j’ai vu cet homme que j’avais épousé en 1993 sous le charme, mais qui depuis s’était transformé en monstre autant physiquement que mentalement jusqu’à nous faire vivre l’enfer pendant des années ! Et après deux ans de répit, il était de retour dans notre vie pour la saccager à nouveau dans ses chaussures imitation “croco” et son costume tout propre de couleur verte ! D’un regard rempli de haine et de rage, il m’a fusillée avant d’envoyer valser la porte battante d’un violent coup du plat de la main, tout comme il avait frappé Mélody sur la tête dès l’âge de 4 ans à table, sans faire de trace, puis moi au visage en juin 2002 et ensuite la pauvre Coralie qui a toujours été son bouc émissaire ! NON ! Pas lui, pas ça, par pitié !!!!!!!!!! Je n’osais pas imaginer les “retrouvailles forcées” dans le lugubre bureau de la juge ”bourreau d’enfants” sans avocate pour défendre mes filles ! La fin de l’après-midi arrivait, les secrétaires de l’accueil rentraient chez elles, les policiers de l’entrée aussi, le TGI fermait ses portes sur nous, tel un lugubre piège ! Je suis partie chercher un annuaire pour trouver le numéro de l’avocate et lui téléphoner, je déteste ce hall, ce tribunal où tant d’enfants ont perdu leur innocence, leurs sourires, leur joie de vivre et leur foi en la “JUSTICE” pourtant annoncée en grandes lettres dorées sur la façade ! Une fois revenue dans la salle d’attente à ma grande surprise, mon amie et moi ne sommes plus toutes seules dans le tribunal ! Il y a un petit garçon de 4 ou 5 ans, il mâche un chewing-gum et a de grosses lunettes (comme beaucoup d’enfants comme lui car l’aspartame détruit leur vue cinq fois plus vite que chez l’adulte), sa mère est assise auprès de son avocat ! Il semble nerveux mais avec sa gueule de “beau vieux” il me regarde ! Bon ... C’est pas le moment de parler de chewing-gums , je dois tout essayer pour SAUVER MES DEUX FILLES, je regarde la jeune maman et je lui dit : ” Pas facile la vie hein ?“ Elle me demande ce qu’il se passe, ils semblent attendre leur tour pour voir la même juge ! J’explique en gros la situation, l’avocat refuse de me croire et me dit : - ” Ecoutez madame, avec un tel dossier pénal contre votre ex-mari, ce n’est pas possible, le juge n’a pas le droit de lui confier vos filles !“ J’insiste et il continue : - ”A moins qu’il ait beaucoup d’argent mais bon...” - ”Ok, combien pour une avocate ?“ lui ai-je demandé. - ”Oh, pour une avocate 1000 à 1200 euros mais selon la somme elle risquerait de perdre son travail”m’a t-il répondu ! - ”Ok, combien pour une juge ?“ lui ai-je alors demandé ! - ”Oh ! Pour une juge, même si c’est possible en Angleterre (Merci je le savais bien!) en France, il faudrait compter entre 1 et 3 millions d’euros mais il ne doit pas avoir autant d’argent” Je suis choquée mais je reprends mon souffle pour lui répondre : - ”C’est bon, il a deux amis millionnaires !” J’imaginais alors la scène du matin entre la juge voleuse d’enfants et mon ex ! C’était un cauchemar éveillé ! L’avocat me répond d’un air sincère : - ”MA PAUVRE DAME ! Si vous avez la chance de rentrer chez vous avec vos filles, quittez la maison et appelez-moi lundi je suis Me XXX, nous ferons appel et je vous défendrai” Sa cliente elle aussi sous le choc n’avait de cesse de me répéter qu’il était un bon avocat et que je devrais le prendre ! Oh combien j’aimerais retrouver cette maman là ! J’ai remercié l’avocat pour ses conseils en prenant note de son nom et suis allée rejoindre ma copine qui gardait les cartables de mes filles. J’ai appelé l’avocate juste avant 18h et là elle m’a répondu tout de suite pour une fois ! Je lui ai demandé pourquoi elle était encore à son bureau alors que la juge lui avait demandé de revenir à 17h en lui expliquant que mes deux filles avaient été entendues par la juge sans avocate pour les défendre ! Elle m’a annoncé que la juge lui avait téléphoné entre temps pour lui demander de revenir à 18h au lieu de 17h ! - ”Il est 17h55 alors j’arrive !” a-t-elle osé rajouter ! Pensant aux paroles de l’avocat quelques instants auparavant, j’avais une furieuse envie de demander à l’avocate de mes filles si elle était en train de compter les billets. Mais il ne valait mieux pas car j’avais encore besoin de ses services... Je me trouvais comme prise dans un ouragan ! Comment faire pour s’en sortir ? Mon coeur battait très vite, mon cerveau semblait en ébullition, un peu comme un candidat du célèbre jeu "Le millionnaire” mais là, celle qui allait peut-être gagner des millions sans passer à la télé c’était bien la juge ! Pas moi ! Cinq minutes après, devant ma copine qui se croyait elle aussi en plein délire, l’avocate arrive toute essoufflée alors que son cabinet n’était qu’à 300 mètres environ ! Elle a le dossier avec elle et une copie de la vidéo contenant des scènes filmées par mon ex-mari montrant les parties génitales de nos filles, d’un petit garçon et des “cacas” dans les toilettes, le pot et les couches de nos filles étant petites ! L’avocate est assise à côté de moi, elle dit que j’ai au moins trois expertises contre moi disant que je suis folle, qu’elle n’y peut rien, mon amie est debout en face d’elle, j’ordonne à l’avocate de trouver de quoi montrer les images de la cassette à la juge, l’avocate semble avoir peur. Mon amie lui demande si elle a déjà regardé la vidéo et l’avocate lui répond : - ”Oui c’est édifiant !” Puis elle nous demande soudain : ”Ca fait combien de temps qu’elle les travaille au corps ?“ Les oreilles de mon amie et les miennes nous en tombent ! J’ai assez de forces pour lui dire : - ”Au moins 45 minutes ! “ Mais nous n’avons pas le temps de souffler que la porte battante s’ouvre brutalement pour laisser passer la juge, ivre de rage, comme manipulée à distance avec un air diabolique digne des pires films d’horreur ! Mon amie a juste le temps de me demander à voix basse : - ”C’est qui ça ?” Et moi de lui répondre : ”C’est la juge !” Cette dernière nous crache la phrase suivante au visage tel le venin d’un serpent : - ” QUI VA RESTER AVEC Mme GOUGET CE SOIR ?“ Mon amie choquée répond en bredouillant : - ”Moi s’il le faut mais pourquoi ?“ La “juge des enfants” hystérique répond : - ”Voilà j’ai pris ma décision et dans cinq minutes Mme GOUGET VA AVOIR UN CHOC ÉMOTIONNEL GRAVE ET COMME JE ME FAIS DU SOUCI SUR SON ÉTAT DE SANTÉ MENTAL, JE SOUHAITE QUE QUELQU’UN RESTE AVEC ELLE CE SOIR”. Pendant qu’elle disait ces paroles (qui cinq ans plus tard me hantent encore par moments), je la regardais et mentalement je lui disais en fixant son regard enragé : - ” Si tu me prends Mélody et Coralie, je mettrai le temps qu’il faudra mais je t’aurai !” Heureusement que l’année d'avant, j’avais lu un livre de psychologie pour apprendre à gérer de telles personnes et je vous conseille de lire ce livre car je suis persuadée que sans la lecture de ce livre, je n’aurais pas survécu à cette épreuve ! "Ces gens qui vous empoisonnent l'existencede" de Lillian Glass. Ici non plus : Pas le temps de souffler, tandis que mon amie reste toute seule dans la salle d’attente pour garder les affaires de mes filles, je suis la juge avec l’avocate dans son bureau au bout du couloir pour y vivre LE PIRE MOMENT DE TOUTE MA VIEmalgré les dix ans d’horreurs vécus avec mon ex-mari auparavant ! Non, ce n’était pas un roman de Stephen KING, oui c’était la lugubre réalité ! Pourquoi moi ? Pourquoi Mélody et Coralie qui avaient déjà tant souffert ? Aujourd’hui, près de 1708 jours après je me le demande encore ! Dans le bureau de la juge, l’ambiance était plutôt électrique, huit chaises formaient un demi-cercle devant le bureau de la juge assise dans son fauteuil avec deux mitraillettes à la place des yeux ! Tout au bout à ma gauche, on pouvait voir la pauvre Mélody (10 ans et presque 11) le visage gonflé de larmes qui dissimulaient ses grands yeux bleu, on pouvait se demander si elle respirait encore, elle regardait son père assis à sa droite (immobile tel une statue monstrueuse) puis elle me regardait d’un air désespéré en balançant la tête de gauche à droite pour dire non car elle ne pouvait pas parler ! Vous savez, un peu comme la tête des chiens en plastique qui sont parfois sur les plages arrières des voitures et qui bougent la tête selon les mouvements de la voiture ! Ma pauvre Mélody ! Défigurée par la situation ! A la droite de son père, son avocate que je n’avais jamais vue, elle semblait jeune avec des couettes, mais un air tout aussi pervers que son client et toute aussi immobile, figée comme en train de regarder un film dont elle avait écrit le scénario ! Tous deux attendaient juste la fin du film ! Ensuite, il y avait mon avocate qui semblait trembler comme une feuille prise au piège comme moi ! Je me suis assise à sa droite dans une chaise noire à accoudoirs en métal, la pauvre petite Coralie (7 ans et bientôt huit) s’est soudain jetée à mon cou en hurlant de toutes ses forces en anglais (langue qu’elle ne voulait plus parler depuis un certain temps) : - ”I DON’T WANT TO GO WITH DADDYYYYYYYYYYYY !!!“ (JE NE VEUX PAS ALLER AVEC PAPAAAAAAA!!!! “) Toujours en anglais, j’ai demandé à Coralie si elle avait tout dit à la juge, elle a répondu que oui, puis la voix entrecoupée de sanglots à fendre le coeur, elle m’a dit : - “Je - veux - voir - Vanille (notre chienne) - je veux - voir ma copine Sarah”. Coralie devait passer le week-end chez Sarah avec sa soeur car j’étais invitée par une association nationale pour un salon, juste avant notre voyage à Paris ! J’ai eu juste de temps de dire à Coralie en anglais : - ”I know, you are going to be brave, Mummy will come and get you !” ("Je sais, tu vas être courageuse, Maman viendra te chercher !”) La monstrueuse juge ne comprenant peut-être pas l’anglais et ayant sans doute pour mission de me faire craquer pour me faire interner, n’a pas laissé Coralie se calmer bien au contraire elle lui a littéralement hurlé : - ”CORALIE TAIS-TOI, C’EST MOI QUI DÉCIDE QUAND TU PARLES, ASSIS-TOI DANS TA CHAISE, TU PEUX JUSTE TENIR LA MAIN DE TA MAMAN... JE SAIS TRÈS BIEN QU’IL Y A UN LIEN TRÈS FORT ENTRE TOI, TA SOEUR ET TA MAMAN, MAIS MAINTENANT C’EST FINI ! TU PARS AVEC PAPA !!!” Cette phrase reste gravée pour toujours dans mon esprit et j’ose espérer que la folie de mon ex-mari n’a pas détruit ce lien très fort qui a pour nom AMOUR INCONDITIONNEL entre Mélody, Coralie et moi ! De l’autre côté de Coralie, les trois “SS” assistaient à la scène tels trois gros chiens de garde au regard narquois des deux chats siamois dans la “Belle et le Clochard“, vous vous souvenez ? La juge alors prit son pied (excusez-moi l’expression mais il n’y a pas mieux) en expliquant à mes filles, que je devais me faire soigner et qu’en attendant elles allaient partir une semaine en vacances avec “papa” en France chez des amis, puis qu’elles reviendraient la voir le vendredi suivant pour décider si elles iraient en Angleterre avec lui car il avait trouvé une maison avec une chambre pour chacune, des écoles et sa compagne allait ne plus travailler pour s’occuper d’elles en attendant que je me fasse soigner. Elle a expliqué qu’elles me verraient deux heures une fois par mois surveillée par des assistantes sociales car je suis dangereuse et ce pendant six mois. Après on verrait. Et la tête de Mélody ne cessait de dire non tandis que Coralie ne pouvait arrêter de sangloter... Mon avocate était blême, elle ne disait rien alors j’ai décidé de prendre la parole (désolée chers lecteurs pour la suite qui n’est que la vérité !) : - ”Madame la juge, expliquez-moi, si moi je suis folle parce que je nourris mes filles d’aliments biologiques, dites-moi un peu pourquoi l’individu qui est assis là, qui a frappé Mélody sur la tête dès l’âge de 4 ans, a léché Coralie entre les jambes en janvier 2002, puis l'a frappée et poussée dans les escaliers en août 2003, lui, il n'est pas fou ?” Excédée la juge “des enfants” à crié : “JE NE VEUX PAS SAVOIR”. J’ai regardé avec insistance l’avocate qui avait la cassette vidéo sur les genoux, elle a alors dit d’une petite voix : - ”J’ai avec moi Mme la juge, une cassette vidéo qui ....” La juge l’a coupée net par un : ”JE NE VEUX PAS SAVOIR NON PLUS”. Coralie a alors dit qu’elle avait mal au ventre, une des “SS” (la brune) a osé lui dire : - ”C’est normal c’est l’émotion”. La pauvre Coralie a alors dit : ” Maman, j’ai envie de vomir ! “ Et là avec tout le calme du monde, j’ai dit à Coralie : - ”Vas-y ma chérie, vomis sur le bureau de la juge !” Cette dernière n’en pouvait plus, je ne pleurais pas, je n’avais pas essayé de la tuer, je ne craquais pas comme des centaines d’autres personnes avaient du le faire devant elle, alors elle a dit : - ”Ca suffit Mme GOUGET ! Mélody, lève-toi et dit au revoir à ta maman ! “ Mélody telle une épave à la dérive, est venue pendre ses bras autour de mon cou en disant clairement : - ”JE NE VEUX PAS Y ALLER”. Et la juge a noté : ”j’ai pas envie”. Puis ce fût le tour de Coralie de m’embrasser pour la dernière fois pendant un certain temps, cette petite fille qui voulait des bisous tout le temps même à table ! La juge m’a ordonné de quitter son bureau et alors que Mélody ne pouvait plus parler, c’est Coralie qui a fait trembler les murs des couloirs du tribunal de “justice” avec un cri gravé pour l’éternité dans mon coeur : - ”MAMANNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNNN !!!!!“ Là, à cet instant précis, si ma copine n’avait pas été là à entendre ce que nous venions d’entendre, je vous garantis que j’aurais été capable de transformer cette avocate en steak haché ! Une de moins sur les 800 avocats de ce tribunal ! Puis désinvolte, l’avocate dit qu’elle ne peut pas rester plus longtemps car elle a un autre RDV, à une heure pareille je me demande bien avec qui ! Ma copine lui demande alors si je peux faire appel, si je peux demander de nouvelles expertises, à partir de quel âge un enfant peut-il décider de ce qu’il veut... A notre grande surprise, l’avocate nous dit que dès l’âge de 10 ans les témoignages des enfants sont pris en considération ! Nous lui disons presque en coeur que Mélody a dix ans et demi ! Mais elle répond qu’elle est à l’âge limite ! Loin du regard de la juge, je fond en larmes et l’avocate demande à ma copine : - ”Je comprends pas pourquoi elle pleure !” Ma copine n’en pleut plus non plus ! Je reprends la cassette vidéo des mains de l’avocate en lui disant que je saurai à qui la montrer et elle s’en va le plus vite possible ses longs cheveux bouclés volant dans la nuit ! Tout comme mon coeur de mère, ma vie a été brisée en une demi-journée ! Dans la voiture de mon amie qui me reconduit chez moi, je hurle, je pleure, je fais ressortir ma douleur qui ne fait que commencer ! L’amie qui s’était occupée de Mélody et de Coralie à midi nous rejoignit chez moi pour discuter. Il était alors évident pour moi que je devais impérativement dormir le plus possible chaque nuit, continuer à manger BIO (pas besoin d’additifs pour me rendre dépressive) et changer d’avocat dès lundi pour retrouver mes deux filles le vendredi suivant ! J’ai eu la force de réorganiser ma vie en moins de 24 heures, participer au salon où j’étais invitée et changer d’avocat le lundi suivant d’une manière digne d’un film d’action ! (C’est à ce moment-là qu’une journaliste connaissant très bien le milieu et l’avocate de mes filles m’a annoncé que cette avocate est échangiste et a des tendances pédophiles avec les enfants ! J’ai faillit tomber dans les pommes ! ... Le pire c’est qu’en 2010, j’ai appris que tous les avocats de la ville savent que cette avocate s’est faite violer étant enfant et que c’est pour ça qu’elle est avocate des enfants mais qu’elle n’en veut pas ! Et là, sa réponse “Ben oui !” (1) résonne encore dans ma tête ! Un véritable cauchemar !) Mais le vendredi suivant, l’audience a été annulée et une des “SS” a tout simplement décidé que mes filles allaient mieux et qu’elles pouvaient partir pour Londres avec leur père ! Au fait, ça coûte combien une assistante sociale ? Si quelqu’un a la réponse, n’hésitez pas à contacter ! Comme vous le savez, 1078 jours après, le 25 décembre 2010, je passe un cinquième Noël loin de Mélody et de Coralie mais j’espère près du coeur ! Tout ce qui s’est passé entre temps sera le sujet d’un autre best seller, mais je peux vous dire que début mai 2009, après des dizaines de fausses lettres reçues de “mes filles” et dictées par mon pervers d’ex-mari “tant aimé” il y a 18 ans, j’ai eu le bonheur de retrouver Mélody grâce à FACEBOOK, même si certains n’aiment pas (à juste titre) ce genre de groupe sur Internet ! Alors voici ci-dessous certaines des fausses lettres (en format PDF): Liste de Noël 2005 Deux fausses lettres reçues à Paris en mai 2008 ! Fausse lettre de Coralie du 16/09/2008 car elle ne savait pas que j'étais à Paris ! Fausses cartes du 22/12/2008 Fausse lettre du 11 octobre 2009 Fausse lettre de Mélody de janvier 2010 Puis des extraits des vrais Emails échangés avec Melody en mai 2009 ! (A venir) Mais comme je le redoutais, malgré les dires de Mélody, son père a découvert tous nos messages, puisque son avocate les avait dans ses pièces lors d’une audience en janvier 2010 ! Et la pauvre Mélody n’a jamais réussi à m’envoyer la vraie lettre qu’elle avait préparée pour que je puisse avoir sa vraie écriture ! Alors, certainement pour la mettre “au pli”, son père en juillet 2009 a poussé Mélody (de nationalité française) à participer à un premier camp militaire, dans l’armée de l’air anglaise ! Ah oui, j’avais oublié que mon ex-mari n’est pas obsédé que par le sexe ou l’argent, mais aussi par la guerre, les armes et les avions ! Sauf que lui (pour des raisons inconnues), il n’a jamais fait l’armée ! Juste un séjour dans un collège militaire français probablement au même âge que Mélody ! On parle des enfants soldats en Afrique, mais voici des photos des enfants soldats en Angleterre ; du jamais vu en France, notre “beau” pays ! Mélody semble parfois s’amuser avec ses amis dans ce genre de camp militaire, mais elle est loin d'imaginer ce que cache tout ceci ! J’espère qu’un jour elle comprendra et qu’elle pourra se remettre de ce long calvaire contre lequel un procureur de plus et une autre juge n’ONT RIEN VOULU FAIRE ces derniers mois ! RIEN DU TOUT ! POURQUOI, je le découvrirai un jour car j’ai besoin de comprendre ! La suite en 2011 !
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    vorgeat
    Samedi 4 Mai 2013 à 16:39
    le poisson arc-en-ciel!
    Le poisson arc-en-ciel Voici une histoire qui se raconte dans certaines écoles et qui donne lieu à des spectacles de fin d’année avec déguisements, je vous invite à y réfléchir. L’histoire en question est celle du poisson arc-en-ciel : (http://www.acguadeloupe.fr/circonscriptions/capesterrebelleeau/0_data_site/1Formusite/_Ped_mere_arcenciel.pdf) Pour résumer le poisson arc-en-ciel possède de belles écailles multicolores qui suscitent la convoitise de tous les autres poissons. Un d’entre eux vient alors lui demander une de ses écailles, mais le poisson arc-en-ciel refuse. Les enfants miment la scène, le poisson éconduit va voir ses congénères et leur dit que le poisson arc-en-ciel est méchant, tous les autres poissons décident alors de ne plus lui parler, de le mettre de côté ostensiblement. Le poisson arc-en-ciel est seul, les autres ne veulent plus jouer avec lui. Il est triste d’être seul et va demander des conseils. La pieuvre lui dit que s’il se dépouille de ses écailles alors il sera heureux. Le poisson arc-en-ciel n’est pas d’accord, mais quand le poisson éconduit revient pour lui demander une seule petite écaille, il la lui donne. Les autres poissons viennent alors demander des écailles à leur tour. Le poisson arc-en-ciel qui était méchant est devenu gentil alors il donne toutes ses écailles à tous les poissons, toutes sauf une. Tant et si bien que tous les poissons ont désormais une écaille irisée. Le poisson arc-en-ciel n’est plus arc-en-ciel, mais il est le plus heureux et tous jouent avec lui puisqu’il est gentil. Belle histoire n’est-ce pas, une histoire de poisson généreux. Mais regardons-y de plus près. Le poisson arc-en-ciel est différent des autres poissons, il sera différent aussi longtemps qu’il n’aura pas offert ses écailles. Dès lors que tous les poissons auront une écaille irisée, une seule, lui y compris, il ne sera plus différent et donc il sera heureux car les autres accepteront qu’il joue avec eux. À travers une telle histoire, l’enfant admet qu’être différent peut justifier une mise à l’écart. Celui qui est différent doit faire des efforts pour gommer sa différence. Sa différence est une faute qu’il doit corriger sinon il est méchant. C’est une façon de blâmer l’enfant pour sa différence, il en est responsable, lui ou ses parents, qu’il soit obèse, meilleur élève que les autres, qu’il n’aime pas les jeux violents, qu’il soit introverti … Rappelons d’ailleurs que dans les questionnaires de PMI l’enfant solitaire ou qui ne joue pas avec les autres est un enfant sur le cas duquel il faut se pencher, ce n’est pas un enfant normal. Dans ce conte pour enfant la différence du poisson arc-en-ciel réside dans le fait qu’il ait plus que les autres, ou tout simplement qu’il ait quelque chose que les autres ont envie d’avoir. La façon dont il est sollicité pour donner n’est pas particulièrement amicale. Eh oui, s’il ne donne pas alors il sera puni par un ostracisme délibéré de la bande. On peut penser ici à une sorte de légitimation du racket. Le poisson n’est d’ailleurs pas protégé de telles représailles par les figures d’autorité car la pieuvre à laquelle il s’adresse et qui peut représenter le maître ou la maîtresse, lui demande de céder aux pressions. Le renoncement est présenté comme une façon d’être heureux. Renoncer à être soi et à affirmer sa différence, succomber à la pression de groupe c’est être gentil. Une telle morale est terrible surtout quand elle est inculquée à des enfants de cours préparatoire. Les enseignants nous préparent là des générations de zombies soumis à la loi du groupe, au conformisme, à l’égalitarisme par le bas, sans aucune autonomie individuelle. Ce qui a été oublié dans ce conte c’est qu’en s’arrachant les écailles le poisson arc-en-ciel meurt. Il est en réalité une victime, un bouc-émissaire, que ses "amis" se moquent bien de son sort puisqu’ils ont réussi à le convaincre de se dépouiller. Finalement réussir dans la vie c’est obtenir des autres ce que l’on ne se donne pas la peine de faire pour soi afin de grandir et de s’enrichir par le mérite, qui lui, consacre le service des autres. En inculquant une morale de parasite et en justifiant la persécution des différences, les enseignants qui organisent de tels spectacles droguent nos enfants à l’Etat-Providence. Il est à peu près certain qu’avec une telle mentalité ils participent à leur niveau à la déresponsabilisation des familles et les livrent ainsi pieds et poings liés si nécessaire à l’ASE pour toute différence voire dissidence plus ou moins notable. jean-philippe
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    vorgeat
    Dimanche 5 Mai 2013 à 16:34
    le prix des larmes!
    Le prix des larmes Mon fils, ma fille ne sont plus là, il, elle, ils m’ont été enlevés pour être mis dans un foyer ou sa garde en a été transférée. Bien fait penseront certain, certes des parents indignes cela existe, mais vous, vous n’avez rien à vous reprocher si ce n’est d’avoir fait un moment confiance à ceux qui vous ont pris vos enfants qu’il s’agisse des sévices sociaux ou de dénonciateurs qui réglaient leur compte. Alors vous voulez convaincre que vous n’avez rien fait de mal, vous n’espérez rien de plus. On ne retiendra de votre message que vous n’avez plus vos enfants. Oui c’est bien triste, vous n’avez peut-être rien fait pour cela mais vous êtes victimes d’une fatalité institutionnelle, en y réfléchissant un peu plus on se dira qu’il n’y a pas de fumée sans feu. Tel l’aveugle qui fait la manche en demandant quelques sous, on vous accordera une attention rapide sous forme d’une pitié valant quelques piécettes. Votre message n’est pas compris, il est vite passé sur internet, on a lu votre mail, votre site, on vous a croisé rapidement sans chercher plus loin. Comment pourriez vous avoir raison contre des avocats, des juges, des sé(r)vices sociaux qui ont décidé de ce qu’il convenait ? Vous êtes fou, folle, parano, vous ne voulez pas reconnaître vos torts. Mais maintenant au lieu de dire " je suis aveugle ", j’ai perdu mes enfants comme j’ai perdu mes yeux, transformez votre message comme le fait cette passante de la video, écrivez " quelle belle journée, dommage que je ne puisse la voir ". Cette journée est belle oui, tous les passants le constatent, et ils peuvent s’imaginer facilement comme ils souffriraient de ne pas le voir en étant aveugles. Les voila au centre du message, vous ne parlez pas seulement de vous, vous parlez d’eux , vous suscitez leur empathie : CE QUI VOUS EST ARRIVÉ À VOUS POURRAIT LEUR ARRIVER AUSSI ! Ce message est parole de vérité, et cette vérité le CEDIF vous l’apporte car nous vous donnons le logiciel qui permet de comprendre l’intérêt de ceux qui portent atteinte aux familles, nous vous expliquons les ressorts des rapts institutionnalisés d’enfants. Vous qui me lisez vous êtes peut être les meilleurs parents dont l’on puisse rêver et vos enfants sont la prunelle de vos yeux, votre amour vous rend vulnérable et la pire chose qu’on puisse vous infliger c’est de prendre vos enfants pour les priver de tout avenir. Ne croyez vous pas que ceux qui vous veulent du mal aimeraient qu’une telle chose vous arrive à vous et à vos enfants ? Ne pensez vous pas qu’ils trouveront des complices parmi ceux qui vivent des sévices sociaux ? Après tout à chaque époque ses bouc-émissaires, il suffisait il n’y a pas si longtemps d’accuser son voisin de se livrer au marché noir pour qu’il disparaisse. Maintenant supposons que nous ayons attiré votre attention, voila que vous nous laissez des témoignages de votre solidarité. Si nous avons su vous parler ce langage de vérité vous le ferez. Puis vous nous direz, à quoi cela sert de conscientiser, nous sommes le pot de terre contre le pot de fer. Votre colère vous donnera ce sentiment fallacieux d’inutilité. Fallacieux car rien n’est plus faux que le sentiment d’inutilité, le message devient action et là encore l’action doit être bien orientée. Vous avez alors passé le stade du passant en empathie ou du clochard suscitant cette charité empathique que l’on appelle solidarité. Votre message devient le nôtre, il est action, de celle qui soulève les montagnes en désignant des objectifs, en élaborant des stratégies. La colère surmontée l’action devient déterminée, vous dénoncez une logique dont vous avez compris les ressorts, cette logique à l’œuvre dont la finalité est l’écrasement de l’institution familiale, l’élimination des " parents mal calibrés ". Fort de cette conviction vos aspirations deviennent politiques au sens le plus noble du terme et là les comptes que vous demandez tous les comprendront et en premier lieu nos ennemis. À ce moment là notre bras s’abattra pour briser définitivement la logique du tout État, du social dévoyé contre les prérogatives inaliénables (et pourtant aliénées) des individus et des familles. À ce moment vous hurlerez vengeance et vous avez le droit à cette vengeance car vous êtes sains alors que ceux qui vous ont touché sont des pourritures. Vous exposerez l’iniquité des méchants et ceux qui doutaient encore sauront. Cela prendra du temps, nécessitera certainement de nouvelles souffrances et des larmes. Mais l’issue de notre combat ne fait pas de doute si vous savez vous aussi toucher le cœur des hommes, des femmes, des familles. Ayez l’espoir, ne doutez jamais, rejoignez nous, la pire insulte que vous vous faîtes c’est de penser que vous souffrez en vain. jean-philippe
    7
    vorgeat
    Dimanche 5 Mai 2013 à 16:42
    boris ne renonce pas!
    Boris a construit un château pour ses enfants, pourront ils un jour le peupler de leurs cris de joie ? Ce que vivent Daniela et Boris est un déchirement de leur famille dont les traces sont d’ores et déjà ineffaçables.Tous deux de nationalité Bulgare, ils viendront s’installer en France en 2001, Boris y trouvera un emploi, puis se spécialisera dans l’informatique. Ils étaient d’abord unis par une profonde amitié et Boris a soutenu Daniela alors qu’elle attendait un enfant d’un autre homme, puis ils se sont unis et ont eu trois autres enfants. Même si leur train de vie est modeste et leur appartement strasbourgeois peu spacieux, Boris, par son travail, peut subvenir aux besoins de la famille et s’investir dans son rôle de mari et de père. Mais sa femme déprime, elle se sent déracinée en France. Elle se confie à celle en qui elle n’aurait pas dû avoir confiance, elle pense qu’elle aurait besoin d’aide car sa situation lui pèse. Et là, comme souvent, dans les affaires de placements d’enfant, le cauchemar commence. Le décor est posé, une vulnérabilité au sein de la famille, une « confidente » qui s’immisce dans la vie de Boris et Daniela, le besoin formulé d’une main tendue et la machine sociale aliénante s’abat sur cette famille. C’est une bonne conscience dégoulinante de ses vertus sociales, un enfer pavé de « fausse » bonnes intentions rabâchées à un public de naïfs qui va les écraser. Ronald Reagan nous l’avait bien dit \\\\\\\" The nine most terrifying words in the English language are : I am from the government, and I am here to help \\\\\\\". Soit en français, les neufs mots les plus terrifiants sont : \\\\\\\" Je suis fonctionnaire et je suis là pour aider \\\\\\\". Voila donc comment Boris et Daniela furent aidés. Leur situation va faire l’objet d’un signalement auprès des services sociaux par le fait de cette « confidente ». La fille aînée sera placée chez elle contre rémunération de cette « tiers de confiance », quant aux autres enfants ils seront d’abord mis sous observation puis placés dans une famille d’accueil. Daniela ne supporte pas cette situation, elle est internée dans un hôpital psychiatrique. Boris pour rencontrer ses enfants, se lancer dans des procédures et sortir sa femme de l’hôpital, ne peut plus assumer sa charge de travail et doit démissionner. Le mal est fait et il est difficile de revenir dessus, Boris est devenu chômeur et la famille a été éclatée, Daniela s’en veut de s’être confiée et se sent trahie, ses paroles ont été déformées. Mais non, je n’ai jamais dit que je voulais me suicider, j’ai juste employé une expression bulgare dans un mauvais français, dit-elle. Rien n’y fait, le rapport des services de la protection de l’enfance mentionne qu’elle est suicidaire et que l ’attitude du mari y est pour beaucoup. Eh c’est que les Bulgares sont particuliers ! Le bouc-émissaire de la bévue est trouvé et la machine rien ne saurait plus la faire reculer. Il est certains corps où reconnaître ses erreurs est une humiliation et puis le mal est déjà fait, alors autant continuer et d’ailleurs les protestations de Boris tombent à point nommé. Le bonhomme ne serait-il pas colérique, violent, mais c’est un danger pour les enfants cela, et puis il empêche sa femme de se soigner, évidemment c’est à cause de lui qu’elle est malade ! Sûr que si Daniela divorçait et nous racontait la vérité que l’on veut entendre, les choses pourraient s’arranger. Il nous faut un bouc-émissaire vous dis-je. Qu’importe d’ailleurs si les experts judiciaires et psychiatriques bulgares attestent des capacités de bon père de famille de Boris, de son comportement affectueux et responsable avec les enfants. Des Bulgares vous dis-je, leurs critères en terme de parentalité doivent être différents, forcément, imaginez vous cela une famille de Bulgare, ça vit pas dans les roulottes chez eux ? La suite de l’affaire est cousue de fil blanc, elle ressemble à bien d’autres affaires et elle ne se règle pas d’elle-même. La descente aux enfers est complète, un rapport uniquement à charge sur la foi des déclarations de la dénonciatrice, tout élément à décharge étant, à leur sens, de peu d’intérêt. Une assistante éducative briefée pour rédiger le rapport qui convient et qui devrait se satisfaire de ce que de telles affaires justifient l’existence de son poste. Oui parce qu’il faut bien le dire, qu’importe l’erreur d’appréciation, après tout les placements abusifs cela existe et s’il y en avait moins on pourrait s’attendre à des suppressions de poste dans les services de la protection de l’enfance. Et en y réfléchissant un peu, nul n’est vraiment innocent, vous-mêmes qui nous lisez, ne pensez vous pas qu’avec vos pratiques éducatives habituelles vos enfants seraient mieux placés en foyer ou famille d’accueil ? Non vraiment, vous ne savez pas vous remettre en cause alors ! Mais passons, les raisonnements d’une partie trop importante des professionnels des services sociaux sont aberrants mais d’une froide logique puisque la misère sociale est leur métier. Je suis fonctionnaire de l’aide sociale à l’enfance et je suis là pour vous aider ! Aide sociale à l’enfance vraiment, en quoi les enfants de Boris et Daniela ont-ils été aidés ? Bulgares eux aussi, ils ont perdu le contact avec leur langue et leur culture d’origine. Ils ont été assimilés pour vivre en bons français qui croient encore au papa Noël État (il faut rappeler que les Bulgares ont eu la chance de vivre sous un régime communiste mais ont fini par chasser ce bienveillant régime : que les enfants goûtent au moins à l’Etat nounou de l’exception française !). Le fils aîné a été placé dans une famille d’accueil, il a été séparé de ses deux cadettes hébergées dans une autre famille dans laquelle, elles seront victimes de mauvais traitements physiques et psychologiques. Eh oui, c’est pas si difficile d’être famille d’accueil et ce cas là n’est pas isolé non plus. Les enfants sont tristes, leur contact avec les parents sont un déchirement lors de la séparation dont sont témoins des éducateurs car toutes les visites sont médiatisées. Boris et Daniela savent que leurs deux filles sont l’objet de mauvais traitements. Et là on va encore descendre plus bas dans la maltraitance institutionnelle, car Boris en dénonçant la situation d’urgence de ses filles va perdre le droit de les appeler, sa parole n’est pas crédible et celle de la famille d’accueil va l’accabler et sera pour beaucoup dans la prolongation de la séparation. La justice reconnaîtra plus tard la véracité des propos du père au sujet de cette famille, mais la punition de Boris et de ses enfants n’est pas réversible. Ne supportant plus cette situation, Daniela ne veut plus revenir en France et parle à ses enfants au téléphone. Années après années les mesures de placement sont reconduites. Elles le seront tant que Boris ne comprendra pas le bien-fondé de telles mesures et même si une association, bien française celle-là, lui reconnaît amplement les qualités d’un père attentif. Dans leur malheur, les enfants sont de bons élèves, mais ils l’étaient déjà avec Boris et Daniela, ils peuvent compenser leur malaise par les études. L’institution en vient à œuvrer pour qu’ils oublient leurs parents, peut-être pour alléger leur douleur ? Ah si Boris acceptait de s’accabler et de reconnaître ses torts – quitte à les inventer – , on lui rendrait peut être enfin ses enfants ! Enfin, pour ceux qui en d’autres temps d’autres époques ont connu les pratiques de l’auto-critique le peloton n’était jamais bien loin. Xavier Collet
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